A mi-chemin entre les jeux vocaux africains de Zap Mama, les envolées jazz soul de Nina Simone et l’ambiance trip-hop d’un Portishead acoustique, Armelle Ita a construit son langage de sons et nous emmène sur un sentier poétique et chaloupé. Sa voix se fait instrument, la kora répond en virtuose, surgit une clarinette basse, les chœurs s’entrelacent tandis que calebasse et percussions s’entrechoquent en grooves renouvelés.
Armelle Ita : chant, clarinette basse
Nicolas Paradis : kora, percussions
Mélody Debono : clavier, chœurs
En première partie : Grandes Mothers , un duo de contrebasse chantant’ au féminin