« Il faut raconter Philippe Forcioli, ce chanteur goulu, vertigineux, en barbe et chemise à carreaux, tout de rocaille et de grec, qui entre sur scène en se frottant les mains pour une sorte d’incantation au monde et au verbe, ce « fauteur de poèmes » qui chante l’âne, Villon, son père et Brassens comme personne. »
Bertrand Dicale
Le Figaro

« Formidable diseur, raconteur, prophète d’une chanson généreuse et sobre, envers et contre toutes les modes … Vingt ans qu’il écrit des perles de textes, qu’il déroule le fils de ses rimes riches, qu’il trempe sa plume à l’encrier des Villon, des Apollinaire ou des Brassens. Qu’on se le dise: Philippe est un poète, une âme en liberté. Et c’est rare. »
Valérie Lehoux Chorus

« A pas de loup, à plume d’oiseau, à voix de sarment et de source il a fait de la chanson son territoire d’homme libre. On ne veut pas croire qu’au pays de Brassens de Nougaro, de Giono de Delteil de Cadou – et Forcioli est de leur sang – il n’y a plus place pour cette poésie lumineuse, pour cette guitare vagabonde, pour ce troubadour sans entraves, libre vous dis je. »

Anne-Marie Paquotte,
Télérama